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dimanche 22 août 2010

L'Arche de la Rédemption, d’Alastair Reynolds


À la fin de L’Arche de la rédemption, l’équipage de Clavain arrive dans le système de Resurgam après avoir récupéré Felka et détruit le vaisseau de Skade (et donc le corps de Galiana). Nevil Clavain entame avec Volyova des négociations qui n’aboutiront pas. Pendant que Clavain prépare son attaque, le capitaine-vaisseau du Spleen de l’Infini tente de se suicider avec l’une des armes secrètes. La Triumvirat l’en empêche, mais sort grièvement blessée de l’incident.
De son coté Felka explique à Clavain que les Loups (les Inhibiteurs) veulent « seulement » éviter qu’il y ait trop d’espèces intelligentes dans la galaxie, afin de pouvoir déplacer celle-ci facilement avant qu’une collision avec une autre galaxie ne la détruise. Ils veulent sauver la galaxie pour qu’elle puisse encore héberger la vie intelligente par la suite.
Clavain fini par lancer l’attaque contre Ilia Volyova. Cette dernière réussie, non sans peine, à couper le Lumière Zodiaquale en deux, grâce à l’arme dix-sept.  Un cessez-le-feu est déclaré et un arrangement trouvé : Volyova donne le commandement du Spleen de l’Infini à Clavain, qui partira avec la moitié des armes infernales et les deux tiers de la population de Resurgam (ceux que l’armé de porkos a réussi à faire monter à bord). Ilia Volyova, mourante de toute façon, part avec l’Oiseau des Tempête et le reste des armes secrètes, combattre les Loups dans un baroud d’honneur expiatoire (autant pour elle que pour Lyle Merick – la Bête).
Épilogue :
Resurgam a été détruite. Khouri, Thorn et Remontoir lancent les processus d'autoréparation du Lumière Zodiaquale puis partent vers Hades, l’étoile neutronique, afin d’essayer de reprendre contact avec Sylvestre. Nevil Clavain et le reste des personnages quittent le système à bord du Spleen de l’Infini. Sur le retour, ils croisent le trio de vaisseaux conjoigneurs lancés à leur poursuite, et ont la surprise d’apprendre que Skade n’est pas morte : avant que l’Ombre de la Nuit ne soit détruit, elle s’était éjectée à bord d’un missile et fut récupérée par un des trois vaisseaux conjoigneurs. Le Spleen de l’Infini réussi à détruire un des bâtiments ennemi, puis va se cacher sur un monde de Shemes Mystifs non répertorié. Clavain envoie un message à Remontoir, lui annonçant les nouvelles et le prévenant qu’ils l’attendraient sur le monde Mystifs pendant vingt ans.
Et sur ce monde, Felka découvre un transpondeur conjoigneur surement laissé là par Galiana, ce qui impliquerait que son esprit a peut-être été sauvegardé par l’océan vivant des Shemes Mystifs …

Terre et Fondation, d’Isaac Asimov


À la fin de Terre et Fondation, Trevize trouve finalement la Terre, grâce aux coordonnées des « mondes spatiaux », les cinquante premières colonies humaines dont la Terre est le barycentre. Mais la Terre est effectivement stérile, sa croute ravagée par la radioactivité. L’espace d’un instant, la déprime gagne l’équipage du vaisseau gravifique, et c’est là que Fallom, l’enfant hermaphrodite, tente de prendre les commandes de l’appareil pour rentrer chez lui (il pointe en fait le vaisseau vers le premier astre qu’il voit : la Lune). Golan Trevize l’en empêche et Joie calme ensuite l’enfant. C’est alors que Trevize devine que ce que la Terre cachait, devait maintenant ce trouver sur son satellite. Ils s’y rendent, découvre une ouverture dans un cratère, y entre et descende sous la croute. Là bas, Daneel, le légendaire robot humanoïde vieux de plus de vingt mille ans, les attend. Il leur explique que depuis l’aube du voyage interstellaire, il essaye de guider l’humanité vers le bonheur et la stabilité, qu’il est à l’origine de la psychohistoire, de la fondation de Gaïa, et qu’il les a protégé durant tout leur voyage. Malheureusement, son cerveau positronique arrive en fin de vie. Afin de vivre assez longtemps pour superviser la création de Galaxia, Daneel a besoin de fusionner avec quelqu’un. C’est Fallom, pour ses capacités transductrices et sa grande espérance de vie, sur qui se porte le choix de Daneel
D’autre part, Golan Trevize comprend enfin pourquoi il a choisit Galaxia parmi les autres avenirs possibles : le plan Seldon souffre d’un présupposé faux. L’humanité est peut-être la seule espèce intelligente de la galaxie, mais pas de l’univers. Seule l’union des hommes au sein de Galaxia permettrait au genre humain de faire face à une attaque venue d’ailleurs.

Fondation Foudroyée, d’Isaac Asimov



À la fin de Fondation Foudroyée, une triple confrontation à lieu aux abords de Gaïa. Chacun dans son vaisseau, on a d’une part : l’Orateur Stor Gendibal et Novi (qui s’avère être un agent de Gaïa) ; d’autre part : Madame Branno, Maire de Terminus et son fidèle Kodell ; et enfin : le Conseiller Trevize, le professeur Pelorat et Joie, de Gaïa. La conscience unifiée et surpuissante de la planète Gaïa a tout manigancé depuis le début pour arriver à cette confrontation, dont l’enjeu est le destin de la galaxie. Trois futurs sont possibles : un future dominé par la Première Fondation, mais dévié du Plan : grâce aux écrans mentaux, la Première Fondation s’émanciperait de la Seconde et instaurerait une dictature militaire sur la galaxie. Un autre futur possible est celui dominé par la Seconde Fondation, qui grâce au dynamisme de l’Orateur Gendibal, rattraperait son retard technologique sur la Première Fondation et manipulerait celle-ci jusqu’au Second Empire et plus encore. Mais les conflits de politiques internes à la Seconde Fondation n’apporteront certainement pas une gouvernance sage et stable. Le dernier futur proposé et celui de « Galaxia », une conscience unifiée à l’échelle de la galaxie, à l’instar de Gaïa pour sa planète.
Gaïa a un rôle de gardien de l’humanité, hérité des antiques robots, et dirigée par un équivalent des Trois Lois. Mais Gaïa est incapable de choisir d’elle-même le meilleur futur. C’est pourquoi elle fait appelle à Golan Trevize, la seule personne ayant le don de deviner juste, à partir d’informations incomplètes. Chacun expose ses arguments à Trévize, et celui-ci finit par choisir « Galaxia » comme avenir.
Épilogue :
Gaïa manipule les esprits de Branno, Kodell et Gendibal pour leurs faires oublier les évènements précédents et amorcer les changements qui mèneront à « Galaxia ». Pelorat et Joie, heureux, se mettent en couple, mais Trevize est encore intrigué par quelque chose. Il va voir le vieux Dom et lui demande pourquoi Gaïa a effacé toutes traces de la Terre dans les archives de la bibliothèque de Trantor. Dom, bien surpris, lui répond que ce n’est pas Gaïa qui a fait ça. Dom et Trevize constate qu’il y a encore un mystère non expliqué…

My Sassy Girl


 
À la fin de My Sassy Girl, Jordan décide de faire une « pause » avec Charlie. Elle lui demande d’écrire une lettre livrant tous ses sentiments. Elle fait de même, et ils les enterrent au pied de l’arbre, se promettant de se retrouver là dans deux ans, et d’ouvrir les lettres. Deux ans après, Charlie vient au rendez-vous, mais Jordan n’est pas là. Ils ouvrent la lettre : Jordan lui explique que son ancien petit ami est mort peu de temps avant qu’ils se rencontrent. Charlie ressemble beaucoup à son ex, il est aussi gentil que lui, et elle lui a fait refaire tous les évènements marquant qu’elle avait vécu avec son ex (la rose pendant le récital …). Mais justement, Charlie rappelle trop à Jordan son ex décédé, et si elle n’est pas là aujourd’hui, c’est qu’elle n’a pas réussi à tourner la page.
Le temps passe un peu, et Charlie accepte enfin de rencontrer la femme que sa tante veut lui présenter. De même, Jordan va voir la mère de son ex, dont elle est restée proche. Cette dernière veut lui présenter quelqu’un : Charlie. L’ex de Jordan était en faite le cousin de Charlie. Ils se retrouvent enfin, et s’aiment déjà.




My Sassy Girl de Yann Samuell (2008) et le remake de d’un film sud-coréen de Jae-young Kwak (2001). L’histoire et la fin sont identiques, il n’y a que quelque réajustement dans le remake pour faire correspondre l’histoire au cadre New-Yorkais.