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dimanche 22 août 2010

Terre et Fondation, d’Isaac Asimov


À la fin de Terre et Fondation, Trevize trouve finalement la Terre, grâce aux coordonnées des « mondes spatiaux », les cinquante premières colonies humaines dont la Terre est le barycentre. Mais la Terre est effectivement stérile, sa croute ravagée par la radioactivité. L’espace d’un instant, la déprime gagne l’équipage du vaisseau gravifique, et c’est là que Fallom, l’enfant hermaphrodite, tente de prendre les commandes de l’appareil pour rentrer chez lui (il pointe en fait le vaisseau vers le premier astre qu’il voit : la Lune). Golan Trevize l’en empêche et Joie calme ensuite l’enfant. C’est alors que Trevize devine que ce que la Terre cachait, devait maintenant ce trouver sur son satellite. Ils s’y rendent, découvre une ouverture dans un cratère, y entre et descende sous la croute. Là bas, Daneel, le légendaire robot humanoïde vieux de plus de vingt mille ans, les attend. Il leur explique que depuis l’aube du voyage interstellaire, il essaye de guider l’humanité vers le bonheur et la stabilité, qu’il est à l’origine de la psychohistoire, de la fondation de Gaïa, et qu’il les a protégé durant tout leur voyage. Malheureusement, son cerveau positronique arrive en fin de vie. Afin de vivre assez longtemps pour superviser la création de Galaxia, Daneel a besoin de fusionner avec quelqu’un. C’est Fallom, pour ses capacités transductrices et sa grande espérance de vie, sur qui se porte le choix de Daneel
D’autre part, Golan Trevize comprend enfin pourquoi il a choisit Galaxia parmi les autres avenirs possibles : le plan Seldon souffre d’un présupposé faux. L’humanité est peut-être la seule espèce intelligente de la galaxie, mais pas de l’univers. Seule l’union des hommes au sein de Galaxia permettrait au genre humain de faire face à une attaque venue d’ailleurs.

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